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Récital de piano: par Jean-Baptiste Fonlupt

Date : Le 9 novembre 2023 à 20:00

Lieu : Salle de concert de l'IMEP

rue Juppin 28

Namur, 5000

Horaire d'ouverture de la billetterie

Par téléphone: 081/73.64.37

Lundi, mardi et jeudi de 8h30 à 12h30 et de 13h à 15h et le vendredi de 8h30 à 11h30

Média

Le piano de Jean-Baptiste Fonlupt

sillonne toutes les contrées, tous les genres, de la musique baroque aux musiques d’aujourd’hui! Un œil sur ses concerts à travers le monde dessine le portait d’un insatiable chercheur, profond, ouvert à tous les vents, les régions, les esthétiques. Sa technique, très sûre, lui permet une concentration absolue, une absorption totale dans son univers musical.Jean-Baptiste Fonlupt a étudié au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Bruno Rigutto et à la Hochschule Hanns Eisler de Berlin dans la classe de Michael Endres. Il a également reçu l’enseignement de Georges Pludermacher, de Yonty Solomon au Royal College of Music de Londres et d’Elisso Virssaladze au Conservatoire Tchaïkovsky de Moscou.Sa discographie va des sonates de Carl Philipp Emanuel Bach aux pièces rares de Franz Liszt, auxquels s’ajoutent des enregistrements consacrés à Frédéric Chopin, Robert Schumann, et dernièrement aux Ballets d’Igor Stravinsky, Sergueï Prokofiev et Maurice Ravel chez le label La Dolce Volta. Ses disques obtiennent les récompenses les plus élogieuses dans des magazines tels que Diapason, Classica ou Gramophone. Passionné par la transmission, il enseigne actuellement à l’IMEP et au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rueil-Malmaison (France).

PROGRAMME

L’art de la transcription pour piano dans les musiques d’opéra et de ballets

Opéras
Verdi/Liszt: Paraphrase d’Ernani
Wagner/Liszt: Procession d’Elsa (Lohengrin)

Ballets
Stravinsky: Trois mouvements de Petrouchka
Prokofiev: Roméo & Juliette op.75 no.10 « Avant la séparation »
Ravel: La Valse

Notes de programme:

Les paraphrases pour piano de Franz Liszt sur les opéras de Verdi, libres fantaisies mélangeant différents thèmes, ainsi que les transcriptions des opéras de Wagner, scrupuleusement fidèles aux textes du compositeur, sont autant d’actes d’amour envers ceux qu’il honorait qu’envers le piano lui-même. Déployant un art de l’écriture nouveau, une véritable science des sonorités et une virtuosité transcendante, Liszt nous livre des splendeurs dignes des œuvres originales, transformant ces chefs-d’œuvre lyriques et orchestraux en sublimes pièces de concert. Dans l’écrin de son décor, le ballet s’offre en spectacle, suscitant l’admiration, l’enchantement. En ce début de vingtième siècle, du Palais Garnier au Bolchoï, du Châtelet au Mariinsky, les couleurs chatoyantes de l’orchestre se marient aux chorégraphies novatrices des Ballets Russes. dirigés par Serge de Diaghilev. Confiées à d’illustres compositeurs, certaines de ces partitions ont vu naître des versions pour piano, par les compositeurs eux-mêmes, qui les ont conçues comme de véritables œuvres pianistiques: des pièces de concert écrites comme telles, dépassant ainsi la simple musique de ballet.

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